Bienvenue sur le site du Bureau FMI du Représentant Résident au Tchad. Cette page Internet fournit des informations sur les activités du FMI au Tchad et sur les relations entre le Tchad et le FMI. Un complément d'information est accessible sur la page principale du pays: Le Tchad et le FMI, où vous trouverez des rapports officiels et des documents du Conseil d'administration du FMI sur le Tchad.
Aperçu général
- Membres actuels : 191 pays
- La République du Tchad a rejoint le Fonds le 10 juillet 1963.
- Quota total : 140,2 millions de DTS
- Encours de crédits : 26,43 million de DTS
- Consultation au titre de l’Article IV : n° 19/258, le 31 juillet 2019
Activités du Bureau du représentant résident
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Présentation des Perspectives économiques régionales pour l'Afrique subsaharienne
Dossier de presse
le 30 décembre 2019
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Présentation des Perspectives économiques régionales de l'Afrique subsaharienne
Discours de M. Ahmed Alkhoudar Ali Fadel, Secrétaire d'Etat aux Finances et au Budget
le 19 décembre 2019
Travaux du FMI sur le Tchad
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République du Congo: Questions Générales; Rapport du FMI n° 24/252; 24 juin 2024
le 19 décembre 2024
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le 16 décembre 2024
Les pays et les institutions de la Communauté Economique Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) ont réalisé des progrès dans leur programme de réformes au cours des dernières années. Cependant, des défis persistent, notamment un endettement élevé, des déséquilibres budgétaires et extérieurs croissants, ainsi que des problèmes de diversification économique et de gouvernance.
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le 9 décembre 2024
Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a conclu les consultations de 2024 au titre de l’article IV avec le Tchad.
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Divergence de croissance en Afrique subsaharienne
le 14 novembre 2024
La stagnation des revenus dans les pays d’Afrique subsaharienne riches en ressources naturelles appelle à une gestion budgétaire plus efficace et à des réformes structurelles d’envergure.
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le 15 octobre 2024
Une équipe du Fonds monétaire international (FMI), dirigée par M. Édouard Martin, chef de mission pour le Tchad, s'est rendue à N'Djamena et a tenu des discussions dans le cadre de la consultations au titre de l'article IV pour 2024 du 3 au 15 octobre 2024.
Courriels frauduleux usurpant l'identité du FMI
Nous souhaitons informer le public que plusieurs variantes de lettres financières frauduleuses, prétendument délivrées par le Fonds monétaire international (FMI), ou prétendument signées de la main de représentants du FMI, sont actuellement diffusées par courriel à des fins d’escroquerie. Elles utilisent parfois l’entête officielle et le logo du FMI. Ces lettres frauduleuses demandent aux victimes potentielles de contacter le FMI afin d’obtenir « certificat de virement de capitaux international » ou d’autres formes de garantie, qui leur permettraient de recevoir d’importantes sommes d’argent. Il arrive aussi que ces lettres prétendent offrir un prêt en échange de frais de négociation. Le courriel de la personne à contacter est toujours BOGUS et il est demandé aux victimes potentielles d’envoyer leurs informations bancaires personnelles, qui seront ensuite utilisées par les fraudeurs pour mener à bien leurs escroqueries.
Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez lire cet article (en anglais)
Perspectives économiques régionales
le 25 octobre 2024
Reforms amid Great ExpectationsLes pays d’Afrique subsaharienne mettent en œuvre des réformes difficiles et indispensables pour rétablir la stabilité macroéconomique et, bien que les déséquilibres globaux aient commencé à se résorber, la situation est hétérogène. Les dirigeants sont confrontés à trois principaux obstacles. Premièrement, la croissance régionale, attendue à 3,6 % en 2024, est globalement atone et inégale, même si une modeste reprise est prévue l’année prochaine à 4,2 %. Deuxièmement, les conditions de financement demeurent restrictives. Troisièmement, l’interaction complexe entre la pauvreté, le manque de débouchés et la mauvaise gouvernance, conjugués à des augmentations du coût de la vie et à des difficultés à court terme liées aux ajustements macroéconomiques, nourrissent les frustrations sociales. Dans ce contexte, les décideurs doivent se livrer à un véritable exercice d’équilibriste consistant à concilier quête d’une stabilité macroéconomique, réponse aux besoins de développement et assurance de l’acceptabilité sociale et politique des réformes. Il sera essentiel de protéger les plus vulnérables des coûts de l’ajustement et de mettre en œuvre des réformes qui créent suffisamment d’emplois pour mobiliser le soutien public.
Lire le rapport