Bienvenue sur le site Internet du Bureau FMI du représentant résident au Gabon. Ce site fournit des informations sur les activités du FMI au Gabon et sur les relations entre le Gabon et le FMI. Si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet, consultez la page suivante : Le Gabon et le FMI (en anglais). Vous y trouverez les rapports officiels du FMI et les documents du conseil d’administration du FMI sur le Gabon.
Aperçu général
- Membres actuels : 191 pays
- Le Gabon a rejoint le Fonds le 10 septembre 1963
- Quota total : 216,00 millions de DTS
- Dernière consultation au titre de l’Article IV : le 19 février 2016
Activités du bureau du FMI au Gabon
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Gabon : Le FMI exige « transparence et responsabilisation dans la gestion des ressources publiques »
Article de presse de Gabon Media Time
le 3 août 2020
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Lutte contre le Covid-19 : Le FMI décaisse 85 milliards de FCFA en faveur du Gabon
Article de presse, publié par Gabon Review
le 1 août 2020
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Gabon : le FMI durcit les conditions de décaissement des deux dernières tranches du MEDC
Article de Gabon Media Time
le 11 novembre 2019
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Gabon : Les conclusions encourageantes du FMI
Article de Gabon Media Time
le 17 octobre 2019
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La reprise économique de l’Afrique subsaharienne se poursuit
Interview de Boileau Loko, chef de mission du FMI pour le Gabon, réalisée par Economie Gabon +
le 16 octobre 2019
Travaux du FMI au Gabon
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le 30 mai 2024
Washington, DC : Le 24 mai 2024, le Conseil d'Administration du Fonds Monétaire International (FMI) a conclu la consultation au titre de l'Article IV avec le Gabon.
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Les services du FMI concluent leur mission de consultation au titre de l’article IV de 2024 au Gabon
le 15 février 2024
• Les consultations au titre de l'Article IV de 2024 ont porté essentiellement sur les défis à court-terme auxquels fait face le Gabon : renforcer la transparence et la gouvernance, relancer la croissance économique et stabiliser la situation budgétaire.
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le 19 décembre 2023
Le 18 décembre 2023, le conseil d’administration du FMI a conclu les consultations annuelles avec la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (CEMAC) sur les politiques communes des pays membres et les politiques communes en appui aux programmes de réformes de ces pays .
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le 5 mai 2023
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le 1 mai 2023
Les pays devront renforcer leur résilience pour gérer les reconfigurations inévitables des échanges et des investissements directs étrangers.
Courriels frauduleux usurpant l'identité du FMI
Nous souhaitons informer le public que plusieurs variantes de lettres financières frauduleuses, prétendument délivrées par le Fonds monétaire international (FMI), ou prétendument signées de la main de représentants du FMI, sont actuellement diffusées par courriel à des fins d’escroquerie. Elles utilisent parfois l’entête officielle et le logo du FMI. Ces lettres frauduleuses demandent aux victimes potentielles de contacter le FMI afin d’obtenir « certificat de virement de capitaux international » ou d’autres formes de garantie, qui leur permettraient de recevoir d’importantes sommes d’argent. Il arrive aussi que ces lettres prétendent offrir un prêt en échange de frais de négociation. Le courriel de la personne à contacter est toujours BOGUS et il est demandé aux victimes potentielles d’envoyer leurs informations bancaires personnelles, qui seront ensuite utilisées par les fraudeurs pour mener à bien leurs escroqueries.
Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez lire cet article (en anglais)
Perspectives économiques régionales
le 25 octobre 2024
Reforms amid Great ExpectationsLes pays d’Afrique subsaharienne mettent en œuvre des réformes difficiles et indispensables pour rétablir la stabilité macroéconomique et, bien que les déséquilibres globaux aient commencé à se résorber, la situation est hétérogène. Les dirigeants sont confrontés à trois principaux obstacles. Premièrement, la croissance régionale, attendue à 3,6 % en 2024, est globalement atone et inégale, même si une modeste reprise est prévue l’année prochaine à 4,2 %. Deuxièmement, les conditions de financement demeurent restrictives. Troisièmement, l’interaction complexe entre la pauvreté, le manque de débouchés et la mauvaise gouvernance, conjugués à des augmentations du coût de la vie et à des difficultés à court terme liées aux ajustements macroéconomiques, nourrissent les frustrations sociales. Dans ce contexte, les décideurs doivent se livrer à un véritable exercice d’équilibriste consistant à concilier quête d’une stabilité macroéconomique, réponse aux besoins de développement et assurance de l’acceptabilité sociale et politique des réformes. Il sera essentiel de protéger les plus vulnérables des coûts de l’ajustement et de mettre en œuvre des réformes qui créent suffisamment d’emplois pour mobiliser le soutien public.
Lire le rapport